Espace où se rencontreront les cultures du monde; où les mots circuleront librement pour véhiculer des messages de paix entre les Hommes. Un bazar où ni les aimés des muses ne seront marchands, ni les amateurs de mots ne seront clients. Nulle entrave, nulle contrainte, un seul mot d'ordre : aimer l'art sous toutes ses formes d'expression. Et l'aimer ensemble.
mercredi 31 août 2011
mardi 30 août 2011
Tadiwennit ger Buda d umeksa, tasuqilt n Sunya Lewnis
Tadiwennit ger Buda d umeksa
Ameksa : " Imensi-w ihegga, tixsiwin-iw ẓẓgeɣ-tent-id. Tawwurt-iw yuɣal-as uzekrun, di lkanun-iw tuɣ tmess. Ma d kečč ru akken i k-yehwa ay igenni ! "
Buda : " Dayen ur ḥawaǧeɣ učči neɣ ayefki. Aḍu d axxam-iw, timess-iw tensa. Ma d kečč ru akken i k-yehwa ay igenni ! "
Photo de Jean-Paul Falguières, extraite de http://bdm.typepad.com/photos/falguieres_pastoralisme/jeanpaul_falguieres_pastoralisme_019.html |
Tadiwennit ger Buda d umeksa
Ameksa : " Imensi-w ihegga, tixsiwin-iw ẓẓgeɣ-tent-id. Tawwurt-iw yuɣal-as uzekrun, di lkanun-iw tuɣ tmess. Ma d kečč ru akken i k-yehwa ay igenni ! "
Buda : " Dayen ur ḥawaǧeɣ učči neɣ ayefki. Aḍu d axxam-iw, timess-iw tensa. Ma d kečč ru akken i k-yehwa ay igenni ! "
dimanche 28 août 2011
samedi 27 août 2011
jeudi 25 août 2011
mercredi 24 août 2011
La marche, par Abderrahmane Yefsah
Caricature Abderrahmane Yefsah |
La marche
Les marcheurs, qu'ils sachent ou non, où aller, leur importait peu. Néanmoins, la confiance semblait leur être revenue. Une certaine béatitude nous animait et aucun signe de surmenage ni d'ennuis ne vint altérer la détermination irrésistible qui nous animait.
mardi 23 août 2011
Saint Claude, par Sonia Lounis
Saint Claude…
Cupidon
a percé mon cœur de flèches multiples, au lieu d’y semer
l’amour, elles ont implanté l’idolâtrie et la divinisation de
l’amour. Je croyais, dans ma naïveté de femme enfant, que le fils
d’Aphrodite m’avait rendu le plus grand service jamais reçu ;
qu’il m’avait offert le plus merveilleux des présents
terrestres. Je n’ai à aucun moment douté qu’il s’agissait
d’un cadeau empoisonné. J’étais crédule ou sotte, je ne puis
le dire ! Je sais juste que, aussi belle et magique que fut pour
moi la fête de la Saint Valentin cette année-là, Saint Claude a
tiré un rideau noir sur la mise en scène de ma mythologie des
amours. Le pire des sévices fut, non la déception, mais le
mensonge.
lundi 22 août 2011
samedi 20 août 2011
mercredi 17 août 2011
mardi 9 août 2011
Je sais que tu n'es que l'amour d'une escale, par Sonia Lounis
Illustration Sonia Lounis Crayon noir sur papier Canson |
Je sais que tu n'es que l’amour d’une escale !
J’ai
veillé tard ce soir. Je n’ai eu de cesse de penser à toi ;
j’ai fermé les yeux sur ton image, sur les confessions de mon cœur
pour toi ; je me suis endormi enfin, mais je ne me souviens
d’aucun rêve.
lundi 8 août 2011
Dans ma ville, par Paule Mangeat
Dans ma ville
Il y avait la vieille et ses pas hésitants sur le trottoir.
Il y avait le ciel et une cabine téléphonique.
Il y avait des graffiti sur le mur et un homme et un chien et une bouteille, en laisse.
Il y avait le bitume bien dur et une folle un peu rouge.
Il y avait un papillon des villes et c'était le printemps.
Il y avait un coquelicot des champs mais c'était la ville quand même.
Il y avait des tronçons d'autoroute, mais c'était plus loin.
Il y avait l'été sous les jupes des filles.
dimanche 7 août 2011
Une brise qui m'ébranle et me tue, par Sonia Lounis
Une brise qui m’ébranle et me tue !
Je
ne sais pas vivre comme tout le monde. Là où les gens sont heureux
pèsent sur moi tous les chagrins de l’existence ; là où les
gens sont malheureux, moi, je m’exalte et m’enivre de joies
intenses ; là où les jeunes rêvent, moi, je ne vois que des
vieux égarés par leurs infinies espérances ; là où l’amour
enchante, moi, je ne sens que menaces et exhortations à fuir au plus
vite ; là où le danger s’installe à son confort, moi, je
prends gîte et m’évertue à cultiver des passions infinies…
samedi 6 août 2011
Cette vague, par Sonia Lounis
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Vague de Camille Claudel |
Cette vague…
Une
vague échoue sur la rive, rejette avec force des détritus de tous
ordres et me reprend dans son retour vers le large pour me faire
échouer à mon tour sur des îles de solitude qui menacent par leur
hostilité.
vendredi 5 août 2011
jeudi 4 août 2011
Il n'est plus dans sa toute première fraîcheur, par Jean-Louis Crimon
Il n'est plus dans sa toute première fraîcheur
- Monsieur, ce livre m'intéresse, mais le prix ne me convient pas.
- Oui, monsieur. Basse Bretagne, André Dupouy, Editions Arthaud, 1952, in-8 broché, 249 pages. Couverture en couleurs signée Mathurin Méheut. Ouvrage orné de 224 héliogravures. Carte dépliante à l'intérieur. Collection "Les Beaux Pays". En très bon état pour un livre bientôt sexagénaire...
mardi 2 août 2011
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